Le texte sur la fin de vie examiné à l’Assemblée nationale à partir de fin janvier

Le texte sur la fin de vie examiné à l’Assemblée nationale à partir de fin janvier
Publié le
November 5, 2024
Le texte sur la fin de vie examiné à l’Assemblée nationale à partir de fin janvier - Le projet de loi du précédent gouvernement avait été examiné au printemps, jusqu’à l’avant-veille des élections européennes. Le vote solennel n’avait pas pu avoir lieu en raison de la dissolution.

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« En conférence des présidents, j’ai obtenu du gouvernement l’engagement d’inscrire le texte sur la fin de vie à l’ordre du jour des semaines du 27 janvier et du 3 février. L’Assemblée est prête à avancer sur ce nouveau droit attendu par tant de Français. Il est temps », a écrit sur X Yaël Braun-Pivet, soutien de longue date d’avancées législatives sur la question de « l’aide à mourir ».

« Le gouvernement décide d’ouvrir le débat sur la fin de vie à partir du 27 janvier », a confirmé auprès de l’Agence France-Presse (AFP) l’entourage de la ministre chargée des relations avec le Parlement. La question de savoir si le gouvernement proposera un nouveau projet de loi ou s’il reprendra la proposition de loi d’Olivier Falorni (groupe MoDem), signée par près de 220 députés, n’a pas encore été arbitrée, a précisé cette source.

« Aide active à mourir »

Le projet de loi du précédent gouvernement avait été examiné au printemps, jusqu’à l’avant-veille des élections européennes. Le vote solennel n’avait pas pu avoir lieu en raison de la dissolution.

Le texte devait légaliser le suicide assisté et, dans certains cas, l’euthanasie, avec de strictes conditions et sans employer ces termes, préférant parler d’« aide active à mourir ».

Source : www.lemonde.fr

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Commentaire du CPDH

Les partisans de l’euthanasie dont Yael Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée Nationale, ont réussi à ré-inscrire le projet de loi sur la fin de vie dans l’agenda parlementaire et dans les mêmes termes que celui en discussion avant la dissolution. Le monde a davantage besoin de soin et d’espérance pour bien vivre que d’une « aide active à mourir ». C'est pourquoi le CPDH poursuivra son travail d'information, d'argumentation et de conviction à ce sujet pour une "aide active à soutenir" et non à mourir.

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