Changement de genre chez les mineurs : l’alerte de l’Académie de médecine

Changement de genre chez les mineurs : l’alerte de l’Académie de médecine
Publié le
March 7, 2022

Changement de genre chez les mineurs : l’alerte de l’Académie de médecine - Le 25 février l’Académie nationale de médecine a publié un communiqué intitulé « La médecine face à la transidentité de genre chez les enfants et les adolescents ». Adopté par 59 voix pour, contre 20 votes et 13 abstentions, il a ensuite été approuvé par le Conseil d’administration le 28 février 2022.

Une « épidémie » chez les jeunes

Certes le phénomène n’est pas nouveau, mais il prend une ampleur préoccupante. « Une étude [1] récente au sein d’une dizaine de lycées de Pittsburgh a révélé une prévalence nettement supérieure aux estimations antérieures faites aux Etats-Unis », indique le communiqué. 10% des élèves fréquentant ces lycées se déclarent « transgenres ou non binaires ou de genre incertain ». En Australie, le Royal Children’s Hospital de Melbourne suivait un enfant pour dysphorie de genre en 2003. Aujourd’hui ils sont « près de 200 ».

« Quels que soient les mécanismes en cause chez l’adolescent – consultation exagérée des réseaux sociaux, plus grande acceptabilité sociale, ou exemple dans l’entourage – ce phénomène d’allure épidémique se traduit par l’apparition de cas, voire de foyers de cas dans l’entourage immédiat », constate l’Académie, citant l’étude de Littman [2] sur les « Rapid Onset Gender Dysphoria ». Des adolescents dont la dysphorie se manifeste quasiment du jour au lendemain (cf. Questionnements de genre chez les enfants : un colloque pour éclairer parents et professionnels).

Source : genethique.org

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