Des scientifiques de l’Université de Northwestern aux Etats-Unis sont parvenus à identifier les protéines structurelles de l’ovaire de la truie : une nouvelle étape vers le développement d’une « bio-encre » destinée à imprimer un ovaire artificiel en 3D. Cette technique pourrait permettre de traiter l’insuffisance ovarienne précoce chez des femmes, suite au traitement d’un cancer. Les résultats ont fait l’objet d’une publication dans Scientific reports.
Source : genethique.org