Euthanasie : L'horreur belge

Euthanasie : L'horreur belge
Publié le
October 11, 2022

Euthanasie : L'horreur belge - Deux affaires récentes jettent une lumière crue sur l’euthanasie en Belgique, alors que ce pays est érigé en « modèle » par les tenants de sa légalisation en France.

Shanti De Corte avait 23 ans. Elle avait survécu aux attentats terroristes à l’aéroport de Bruxelles en 2016. Mais le 7 mai dernier, un médecin l’a tuée par euthanasie, comme l’autorise la loi belge, pour mettre fin à ses souffrances psychologiques. Sa jeunesse et le fait qu’un médecin ait réalisé ce que le terrorisme islamiste n’avait pas réussi à faire ont jeté une lumière crue sur la réalité de l’euthanasie en Belgique, où un patient dépressif (et même un mineur, depuis 2014) peut demander à un médecin de le tuer

Cette nouvelle a jeté un certain trouble chez les partisans de la légalisation de l’euthanasie en France, car ils citent à longueur de temps la Belgique comme leur modèle. Pour sa première visite au titre de superviseur de la convention citoyenne qui se déroulera du 9 décembre 2022 au 19 mars 2023, Olivier Véran s’est lui-même rendu dans une clinique belge...

Source : famillechretienne.fr

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Commentaire du CPDH

C’est un cas très particulier qui a été relaté dans la presse récemment et qui fait douter même les plus convaincus : une jeune femme de 23 ans, survivante des attentats de Bruxelles, a été euthanasiée en Belgique… il n’y a pas de mots pour qualifier une situation aussi triste alors qu’aujourd’hui il est tout à fait possible de prendre en charge un tel traumatisme. Si c’est cela que nos gouvernants veulent pour la France, c’est pour le moins effrayant et loin d’être un exemple à suivre. Quand le Président Macron dit préférer le modèle belge au modèle suisse, il y a de quoi s’inquiéter, puisque la Suisse permet « seulement » le suicide assisté, contrairement à la Belgique qui donne un permis de tuer y compris les enfants. Non, la mort n’est pas la seule solution face aux souffrances. Nous préférons une l’humanité qui accueille l’autre dans ses fragilités et tente de soulager les douleurs.

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